La Croix Glorieuse : Symbole et Signification

"Faire élever la Croix Glorieuse et le
Sanctuaire de la Réconciliation"

12 juin 1973 - 8ème Apparition.

Introduction

La Croix Glorieuse, annoncée à Madeleine Aumont à Dozulé, est bien plus qu'un simple symbole religieux. Elle incarne le Signe du Fils de l’Homme, prédit dans l’Évangile selon Matthieu :

« Et alors apparaîtra dans le ciel le Signe du Fils de l’Homme, et alors toutes les races de la Terre se frapperont la poitrine » (Matthieu XXIV, 30).

Description

La Croix Glorieuse, telle qu'elle fut décrite à Madeleine, devait être érigée sur la Haute-Butte de Dozulé, mesurant 738 mètres de hauteur, soit dix fois la hauteur du Christ Rédempteur de Rio de Janeiro. Elle serait visible de tous et lumineuse, symbolisant la lumière du Christ éclairant le monde plongé dans les ténèbres.

Symbolique

Cette croix est une évocation de la réconciliation entre Dieu et l’humanité. Le Christ, par Son message, appelle les hommes à la conversion et à reconnaître la puissance de Sa miséricorde. Elle est aussi un rappel du sacrifice de la Croix, devenu chemin de vie et de salut.

Dimensions spitituelles

La Croix Glorieuse n’est pas qu’un objet monumental. Elle incarne une mission universelle : celle de réunir les âmes dispersées et d’annoncer le retour glorieux du Christ, établissant un pont entre le ciel et la terre. En contemplant ce signe, chacun est appelé à entrer dans une dimension spirituelle renouvelée.

La Croix du Seigneur (Audio)

La Croix du Seigneur (Transcription)

Première apparition. Mardi 28 mars 1972, à 04h35 du matin.

Voici le mardi de la Semaine sainte, 1972. Mon mari repartait travailler à 04h30 du matin. Comme la veille et les journées précédentes, je me suis levée, je suis descendue fermer la porte derrière lui, je suis remontée, j'ai ouvert ma fenêtre. Le ciel était couvert de gros nuages qui allaient vite du nord-ouest au sud-est. Il y avait un grand vent. Il ne pleuvait pas, le temps était assez clair. Il devait y avoir de la lune. Je regardais le ciel, ces gros nuages qui filaient. Je m'apprêtais à dire la prière à la Sainte Trinité. Je n'avais pas encore commencé la première parole. Tout à coup, j'aperçois au fond de l'horizon, un peu à ma droite, une clarté éblouissante. Elle éclairait tout l'horizon un peu comme quand il y a un éclair partant d'orage. Mais cette clarté restait alors que l'éclair ne dure qu'une seconde. J'ai eu peur. J'ai poussé la fenêtre et je me suis recouchée. Je me suis couverte pour ne plus rien voir. Au bout de 8 à 10 minutes environ, je me suis dressée dans mon lit. Il n'y avait plus de clarté à la fenêtre. C'était tellement éblouissant que je l'aurais vue sans dégager.

Je me suis donc levée et je suis retournée à la fenêtre, il n'y avait absolument plus rien. Et quelques instants après, à nouveau, je voyais quelque chose se former dans le ciel à l'endroit où je venais de voir cette clarté. Tout se formait à la fois. Voici comment. La base, les bras, le haut se formaient ensemble tout doucement et allaient rejoindre le milieu de la croix. Lorsque cette croix fut faite, elle était immense, merveilleuse, plus brillante que le jour, toute simple, toute droite, un peu plus grande que la croix du calvaire de Dauzulé, quand je la vois de près. Elle était impressionnante, mais merveilleusement belle, douce à regarder, et pourtant, elle était d'une clarté éblouissante. Oh que c'était beau, sur la petite colline devant la maison, le mardi 28 mars 1972, entre 4h30 et 4h50 du matin. Il n'y avait que la croix, le Christ n'y était pas. Et sur la petite colline, l'ensemble avait la forme du calvaire. Quelques secondes après, j'ai entendu ces trois mots: Etchecrucem domini, voici la croix du Seigneur. Ces trois mots résonnaient comme dans une église. Ils retentissaient, ils Ils étaient sonores. Il me semblait qu'ils étaient dits au monde entier et que notre globe aurait tremblé au son de cette voix grave.

Cette immense croix, cette voix au milieu de la nuit, était impressionnante. Puis j'ai fait le signe de la croix. La merveilleuse croix était toujours présente devant moi, immense et belle. Oh qu'elle était belle par sa luminosité. Je n'ai jamais rien vu d'aussi beau et d'aussi lumineux. Ensuite, j'ai entendu quelqu'un qui parlait à côté de moi. Cette voix était si douce. Aucun être sur cette terre ne m'a parlé si lentement, si doucement. J'ai pensé que c'était Jésus.

J'ai entendu: Vous ferez connaître cette croix et vous la porterez.

Encore quelques secondes, puis tout a disparu d'un seul coup. Quand elle s'est présentée, elle s'est formée tout doucement, mais elle a disparu d'un seul coup, puis je n'ai plus rien vu. C'est le Jeudi Saint, en allant me confesser, que je l'ai dit à monsieur le Curé. Il a un peu insisté pour savoir. Je lui avais demandé trois jours auparavant ce que voulait dire Ececrucem domini. S'il n'avait pas insisté pour savoir, je crois que je ne lui aurais pas dit si tôt. Pourtant, il devait le savoir. Sans aucun doute, c'était à lui qu'était destiné ces trois mots et je devais tout lui dire. Je ne doutais pas de sa discrétion. Un prêtre doit garder le secret. Et pourtant, tout le monde, je crois, aurait dû le savoir. Le Seigneur ne s'est pas montré et fait entendre pour une seule personne. Sur le moment, j'avais dit à l'abbé Lorset, le curé de la paroisse en 1972, de n'en parler à personne. Mais un peu plus tard, je lui ai dit: Je vous laisse libre d'en parler à qui vous pensez que ce soit nécessaire, mais que mon nom ne soit pas révélé.

Le 1ᵉʳ juillet 1977, cinq ans plus tard, Dieu permit aux laïques de faire connaître son message.

Si je ne désire pas que mon nom soit révélé, ne croyiez surtout pas que c'est par honte, par scrupules, par pudeur, non. Mais tout ceci m'a été donné par Jésus, le Tout-Puissant, Je ne possède rien moi-même, je n'ai aucune capacité, aucun pouvoir, mon nom n'est rien. Ce n'est pas moi qu'il faut regarder dans tout cela, c'est Dieu, Jésus, l'Esprit-Saint, qui est tout et qui peut tout. Je crains que l'on me regarde dans la rue comme un phénomène, un être extraordinaire, que l'on montre du doigt, que l'on dise: C'est celle-là qui a vu la croix de Jésus, qui a entendu ces paroles. Je n'y suis pour rien. Je ne suis qu'une créature culture toute simple. C'est pour cela que je ne veux pas que cette chose soit publiée à cause de mon nom qui n'est rien. Vous ferez connaître cette croix. Sans doute par mes paroles, rappelez aux gens que je rencontre que Jésus a souffert pour nous sauver, qu'ils se souvienne que sa croix est un triomphe, que sa croix est notre seule espérance, que sa croix doit toujours être présente en nous, en nos cœurs, que sa croix est toujours dressée sur l'univers. Ô croix, chéri de Jésus, qui fut tachée de sang pour sauver tous les hommes.

Croyez-moi, c'est avec cœur et foi que je parlerai de Jésus et de sa croix, et aussi Vous la porterez. C'est parfois très difficile de porter la croix, c'est-à-dire d'accepter toutes les misères, toutes les tristesses, tous les soucis, tous les ennuis de tous les jours, toutes les souffrances. Oui, c'est très difficile. Mais quand on a la certitude que Jésus existe, qu'il est vivant, qu'il est là à chaque instant de notre vie, que sa présence se fait tellement sentir, cela doit adoucir toutes ces misères, toutes ces tristesses, tous ces soucis et toutes ces souffrances. Jésus lui-même n'a-t-il pas souffert pour nous tous ? Et quelle souffrance a-t-il subi moralement et physiquement ? Il a été battu, bafoué. On lui a craché au visage, on lui a donné du vinaigre à boire et dans cet état lamentable, il a dit: Père, pardonne-leur, ils ne savent pas ce qu'ils font. Lequel d'entre nous aurait le courage, dans un moment pareil, de pardonner à son bourreau ? Il fallait que ce soit Jésus qui accepte tant de souffrance pour sauver l'humanité. À cette pensée, les larmes nous viendraient aux yeux. Et pourtant, combien de gens ignorent Jésus et oublient Jésus ? Personne ne pense à la croix de Jésus qui domine le monde, cette immense croix merveilleuse, resplendissante de lumière qui apparaît à l'horizon.

Symbole de la puissance, la croix domine notre globe. Ce globe doit être tout petit à côté de la puissance de Dieu. Nous devrions tous trembler devant un tel spectacle. Tout ce qui existe ici bas n'est rien comparé à ce que j'ai vu et entendu le matin du 28 mars à 4h00 du matin.

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Les Promesses du Christ