Vingtième Apparition
"Ne vous lamentez pas."
Vendredi 6 septembre 1974, à la chapelle.
J’ai vu le halo de Lumière. Soeur Marguerite-Marie était seule avec moi et j’ai dit tout haut : “Voilà la Lumière.” Ma joie est tellement grande quand je vois la Lumière apparaître que je ne peux m’empêcher de le crier.
Puis, à gauche du Saint-Sacrement (ou plutôt à gauche dans cette Lumière), Michel l’Archange se présente comme d’habitude et me dit :
Je vous salue.
Je me mets à genoux devant lui, un peu à gauche du Saint-Sacrement, mais il me dit :
Ne vous prosternez pas devant moi, mais devant Celui que vous venez adorer.
Je me suis donc levée et mise à genoux devant le Saint-Sacrement.
A ce moment-là, j’ai vu des rayons lumineux qui jaillissaient de l’Hostie ; ils étaient comme vivants et se renouvelaient sans cesse à partir de l’Hostie, comme d’une source lumineuse (c’est difficile à exprimer).
Saint Michel, qui était toujours là, un peu en retrait à gauche, me dit :
Ne vous lamentez pas sur les yeux du petit David (1). Si Dieu l’a voulu ainsi, c’est parce que ce n’est pas lui qui a les yeux fermés, mais ce sont ses parents qui ont les yeux fermés à la Lumière de la foi.
(1) Peu de temps auparavant, une mère priait pour son fils non croyant dans la basilique de Lisieux. Elle entendit intérieurement : “Dozulé, Dozulé”... S’étant renseignée, elle vint voir le prêtre de Dozulé et lui raconta son histoire. Les paroles du Christ dans cette apparition expliquèrent au curé l’aveuglement spirituel provoqué par le manque de foi, l’incrédulité.
Déposez un cierge à l’endroit où le Seigneur vous a quittée pour la dernière fois.
Tout le temps que l’Archange me parlait, la Sainte Hostie ne cessait de projeter ses rayons lumineux. Puis tout disparut.
Premier vendredi du mois d’octobre 1974
Jésus n’a pas paru.